À propos de l’arthrose
Qu’est-ce que l’arthrose ?
L’arthrose est une maladie articulaire progressive causée par une dégradation du cartilage dans une articulation. Le cartilage est une substance protéique qui agit comme un coussin entre les os, permettant aux articulations de fonctionner en douceur. Sans lui, les mouvements peuvent devenir raides, désagréables et même douloureux1.
Contrairement à d’autres formes d’arthrite, l’arthrose n’est pas inflammatoire au départ, bien qu’elle puisse devenir inflammatoire à des stades plus avancés. Il ne s’agit donc pas d’une maladie auto-immune ou systémique. Toutefois, les symptômes peuvent s’aggraver si la cause sous-jacente n’est pas traitée. La gravité de l’arthrose peut être mesurée à l’aide de radiographies afin de détecter les lésions articulaires ou de déterminer l’impact de la maladie sur la vie d’une personne14 :
Les symptômes les plus courants sont la douleur et la raideur articulaires. L’arthrose peut toucher n’importe quelle articulation, mais les mains et les articulations portantes, notamment la colonne vertébrale, les hanches et les genoux, sont le plus souvent affectées. Les autres articulations, comme les épaules, les coudes et les chevilles, sont moins susceptibles d’être atteintes, à moins que l’articulation n’ait été endommagée par une blessure.
Le plus gros problème est que la douleur et la raideur articulaires causées par l’arthrose peuvent rendre plus difficiles l’activité physique et la participation aux événements de la vie. Par exemple, l’arthrose est l’une des principales causes de limitation de la mobilité, ce qui contribue indirectement à réduire l’espérance de vie2. En outre, les personnes atteintes d’arthrose risquent de participer à moins d’événements sociaux qui pourraient être bénéfiques pour leur santé mentale et leur bien-être3.
Qui peut être atteint d’arthrose ?
L’arthrose est de loin la forme d’arthrite la plus répandue. En 2017, on estimait qu’elle touchait plus de quatre millions d’adultes canadiens, soit un sur 74. Parmi les facteurs de risque de l’arthrose figurent l’âge, les antécédents familiaux d’arthrose, l’excès de poids, ainsi que les lésions articulaires et la surutilisation répétée de l’articulation1. Par exemple, les données révèlent que les jeunes qui subissent des blessures articulaires courent un risque élevé de développer une arthrose du genou au cours de la décennie suivante5. L’arthrose frappe le plus souvent après 45 ans, mais les personnes de tous âges - des enfants aux adultes plus âgés - sont à risque6. Contrairement à d’autres formes d’arthrite, les femmes et les hommes sont également susceptibles d’être touchés par l’arthrose.
Obtenir un diagnostic d’arthrose
Il existe plusieurs signes avant-coureurs de l’arthrose. Il s’agit notamment de1 :
Comme c’est le cas pour la plupart des formes d’arthrite, un diagnostic précoce d’arthrose est un facteur clé pour préserver la santé des articulations et prévenir les handicaps et les déformations. Plusieurs mesures peuvent être prises pour ralentir la progression des lésions articulaires.
Traitement de l’arthrose
Selon la gravité du cas, il existe des options de traitement non médicamenteux et médicamenteux. Pour l’arthrose légère au niveau du genou, l’éducation, le mode de vie et l’exercice sont les thérapies de première intention. Dans le cas d’une arthrose modérée à grave, un médecin peut également recommander des médicaments ou une intervention chirurgicale sur l’articulation, en fonction des symptômes.
Mode de vie
Les changements de mode de vie constituent un traitement de premier recours. Par exemple, le maintien d’un poids santé réduit la charge exercée sur les articulations et, dans de nombreux cas, atténue la douleur. Une alimentation équilibrée peut soutenir le métabolisme et accroître les niveaux d’énergie. Les personnes atteintes d’arthrose, comme tout le monde, devraient s’efforcer de pratiquer 150 minutes d’activité physique par semaine. Mieux encore, ces modalités se sont révélées efficaces si elles sont adoptées comme des habitudes, et elles présentent de nombreux avantages.
Exercice7,8
L’exercice est un autre élément important de tout plan de traitement, car le mouvement incite les articulations à produire davantage de cartilage. L’essentiel est de pratiquer les bons types d’exercices. En général, les exercices qui sollicitent moins les articulations, comme la natation et d’autres types d’exercices dans l’eau, constituent le point de départ idéal. Une fois les articulations renforcées, passez lentement à l’elliptique ou au vélo stationnaire pour un plus grand défi cardiovasculaire et commencez à incorporer des exercices de mobilité. Il y a de bonnes raisons de penser que les exercices de musculation peuvent renforcer les muscles, ce qui peut aider à soulager l’impact sur les articulations.
Médicaments13
En cas d’arthrose légère, la douleur articulaire peut être suffisamment soulagée par un analgésique en vente libre, comme l’acétaminophène (Tylenol®). L’acétaminophène peut être efficace pour réduire la douleur, mais ce n’est pas un anti-inflammatoire et il ne peut pas empêcher les lésions articulaires. Consultez votre médecin avant de commencer à prendre un médicament.
Si un analgésique comme l’acétaminophène ne suffit pas, les médecins peuvent prescrire un anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS). L’ibuprofène (Motrin® ou Advil®) et l’acide acétylsalicylique (Aspirine®) sont des exemples d’AINS disponibles sans ordonnance. Certains AINS plus puissants nécessitent une ordonnance, comme le naproxène (Naprosyn®). Ce sont des médicaments puissants qui peuvent réduire l’inflammation et la douleur articulaires, mais qui n’agissent pas sur les lésions articulaires. Dans de rares cas, les AINS ont été associés à des effets secondaires cardiovasculaires, rénaux ou gastro-intestinaux, tels que des ulcères d’estomac. Consultez votre médecin avant d’ajouter un AINS à votre plan de traitement de l’arthrose.
Les inhibiteurs de la COX-2 sont une catégorie d’AINS qui réduisent l’inflammation, mais ne présentent pas le même risque d’effets secondaires gastro-intestinaux que les non-inhibiteurs de la COX-2. Le célécoxib (Celebrex) est un exemple d’inhibiteur de la COX-2. Il est important de savoir que si les inhibiteurs de la COX-2 entraînent moins d’effets secondaires gastro-intestinaux, la recherche a démontré qu’ils peuvent présenter un risque d’effets secondaires cardiovasculaires (cardiaques) égal ou supérieur à celui des AINS traditionnels.
Parfois, une injection de corticostéroïde (parfois appelé « cortisone ») dans l’articulation touchée peut contribuer à réduire l’inflammation de l’arthrose modérée à grave de la hanche et du genou, lorsque la mobilité est réduite ou que la douleur est intense. Il est important de noter que ces injections ne doivent être effectuées que de manière intermittente (moins de trois par année) dans chaque articulation atteinte, car des injections multiples de corticostéroïdes risquent d’affaiblir le cartilage et d’aggraver les lésions articulaires. Les injections de corticostéroïdes ne constituent pas un traitement à long terme, mais plutôt une solution temporaire, à utiliser très occasionnellement en raison du risque d’effets secondaires.
Chirurgie
La chirurgie articulaire est une option si les lésions articulaires progressent au point de réduire la fonction et la mobilité globales ou si la douleur est intense pendant une période prolongée. Le type de chirurgie articulaire le plus courant pour l’arthrose est le remplacement de l’articulation (arthroplastie); les genoux et les hanches sont les articulations les plus souvent traitées par arthroplastie.
Points essentiels à retenir
L’Outil sur l’arthrose a été créé pour les fournisseurs de soins primaires qui prennent en charge des patients souffrant de douleur articulaire nouvelle ou récidivante qui correspond à l’arthrose de la hanche, du genou ou de la main. Cet outil aide les cliniciens à identifier les symptômes et à les prendre en charge de manière factuelle, en respectant des objectifs et en utilisant une pharmacothérapie ou non, tout en identifiant les déclencheurs aux fins d’investigations ou d’orientation vers un autre professionnel de la santé.
Outil pour les patients atteints d’arthrose
Une bonne communication entre les patients et leurs fournisseurs de soins de santé est très importante pour établir un diagnostic précis et élaborer des plans de traitement efficaces. Se fondant sur ce constat, le comité ACE, d’autres associations de patients ainsi que des experts scientifiques et cliniques en matière d’arthrose ont élaboré le document Parlez de vos douleurs articulaires à votre médecin, conçu pour améliorer la qualité de vie des personnes atteintes d’arthrite, notamment leur activité physique, leur sommeil, leur santé mentale (comme l’humeur ou la dépression), leurs relations et leur vie professionnelle afin :
Références
Le comité ACE s’engage à utiliser un langage inclusif, exempt de mots, de phrases et de ton qui reflètent des points de vue discriminatoires ou empreints de stéréotypes à l’égard de personnes ou de groupes sous-représentés. Afin d’éviter les préjugés ou l’utilisation d’un langage qui s’approprie d’autres cultures en ce qui concerne la santé et le bien-être des peuples autochtones, le comité ACE consulte des conseillers autochtones pour s’assurer que son site Web et d’autres documents écrits utilisent des termes et des expressions qui correspondent aux identités autochtones et qui sont culturellement appropriés. |
L’arthrose est une maladie articulaire progressive causée par une dégradation du cartilage dans une articulation. Le cartilage est une substance protéique qui agit comme un coussin entre les os, permettant aux articulations de fonctionner en douceur. Sans lui, les mouvements peuvent devenir raides, désagréables et même douloureux1.
Contrairement à d’autres formes d’arthrite, l’arthrose n’est pas inflammatoire au départ, bien qu’elle puisse devenir inflammatoire à des stades plus avancés. Il ne s’agit donc pas d’une maladie auto-immune ou systémique. Toutefois, les symptômes peuvent s’aggraver si la cause sous-jacente n’est pas traitée. La gravité de l’arthrose peut être mesurée à l’aide de radiographies afin de détecter les lésions articulaires ou de déterminer l’impact de la maladie sur la vie d’une personne14 :
- Arthrose légère au niveau du genou - Douleur faible ou brève au niveau du genou, avec une fonction articulaire et une qualité de vie préservées.
- Arthrose modérée à grave au niveau du genou - Douleur persistante qui réduit considérablement la fonction articulaire et la qualité de vie.
Les symptômes les plus courants sont la douleur et la raideur articulaires. L’arthrose peut toucher n’importe quelle articulation, mais les mains et les articulations portantes, notamment la colonne vertébrale, les hanches et les genoux, sont le plus souvent affectées. Les autres articulations, comme les épaules, les coudes et les chevilles, sont moins susceptibles d’être atteintes, à moins que l’articulation n’ait été endommagée par une blessure.
Le plus gros problème est que la douleur et la raideur articulaires causées par l’arthrose peuvent rendre plus difficiles l’activité physique et la participation aux événements de la vie. Par exemple, l’arthrose est l’une des principales causes de limitation de la mobilité, ce qui contribue indirectement à réduire l’espérance de vie2. En outre, les personnes atteintes d’arthrose risquent de participer à moins d’événements sociaux qui pourraient être bénéfiques pour leur santé mentale et leur bien-être3.
Qui peut être atteint d’arthrose ?
L’arthrose est de loin la forme d’arthrite la plus répandue. En 2017, on estimait qu’elle touchait plus de quatre millions d’adultes canadiens, soit un sur 74. Parmi les facteurs de risque de l’arthrose figurent l’âge, les antécédents familiaux d’arthrose, l’excès de poids, ainsi que les lésions articulaires et la surutilisation répétée de l’articulation1. Par exemple, les données révèlent que les jeunes qui subissent des blessures articulaires courent un risque élevé de développer une arthrose du genou au cours de la décennie suivante5. L’arthrose frappe le plus souvent après 45 ans, mais les personnes de tous âges - des enfants aux adultes plus âgés - sont à risque6. Contrairement à d’autres formes d’arthrite, les femmes et les hommes sont également susceptibles d’être touchés par l’arthrose.
Obtenir un diagnostic d’arthrose
Il existe plusieurs signes avant-coureurs de l’arthrose. Il s’agit notamment de1 :
- Douleur et/ou raideur articulaire durant plus de deux semaines,
- Gonflement des articulations des mains et des pieds,
- Réduction de la force musculaire et de la mobilité des articulations.
Comme c’est le cas pour la plupart des formes d’arthrite, un diagnostic précoce d’arthrose est un facteur clé pour préserver la santé des articulations et prévenir les handicaps et les déformations. Plusieurs mesures peuvent être prises pour ralentir la progression des lésions articulaires.
Traitement de l’arthrose
Selon la gravité du cas, il existe des options de traitement non médicamenteux et médicamenteux. Pour l’arthrose légère au niveau du genou, l’éducation, le mode de vie et l’exercice sont les thérapies de première intention. Dans le cas d’une arthrose modérée à grave, un médecin peut également recommander des médicaments ou une intervention chirurgicale sur l’articulation, en fonction des symptômes.
Mode de vie
Les changements de mode de vie constituent un traitement de premier recours. Par exemple, le maintien d’un poids santé réduit la charge exercée sur les articulations et, dans de nombreux cas, atténue la douleur. Une alimentation équilibrée peut soutenir le métabolisme et accroître les niveaux d’énergie. Les personnes atteintes d’arthrose, comme tout le monde, devraient s’efforcer de pratiquer 150 minutes d’activité physique par semaine. Mieux encore, ces modalités se sont révélées efficaces si elles sont adoptées comme des habitudes, et elles présentent de nombreux avantages.
Exercice7,8
L’exercice est un autre élément important de tout plan de traitement, car le mouvement incite les articulations à produire davantage de cartilage. L’essentiel est de pratiquer les bons types d’exercices. En général, les exercices qui sollicitent moins les articulations, comme la natation et d’autres types d’exercices dans l’eau, constituent le point de départ idéal. Une fois les articulations renforcées, passez lentement à l’elliptique ou au vélo stationnaire pour un plus grand défi cardiovasculaire et commencez à incorporer des exercices de mobilité. Il y a de bonnes raisons de penser que les exercices de musculation peuvent renforcer les muscles, ce qui peut aider à soulager l’impact sur les articulations.
Médicaments13
En cas d’arthrose légère, la douleur articulaire peut être suffisamment soulagée par un analgésique en vente libre, comme l’acétaminophène (Tylenol®). L’acétaminophène peut être efficace pour réduire la douleur, mais ce n’est pas un anti-inflammatoire et il ne peut pas empêcher les lésions articulaires. Consultez votre médecin avant de commencer à prendre un médicament.
Si un analgésique comme l’acétaminophène ne suffit pas, les médecins peuvent prescrire un anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS). L’ibuprofène (Motrin® ou Advil®) et l’acide acétylsalicylique (Aspirine®) sont des exemples d’AINS disponibles sans ordonnance. Certains AINS plus puissants nécessitent une ordonnance, comme le naproxène (Naprosyn®). Ce sont des médicaments puissants qui peuvent réduire l’inflammation et la douleur articulaires, mais qui n’agissent pas sur les lésions articulaires. Dans de rares cas, les AINS ont été associés à des effets secondaires cardiovasculaires, rénaux ou gastro-intestinaux, tels que des ulcères d’estomac. Consultez votre médecin avant d’ajouter un AINS à votre plan de traitement de l’arthrose.
Les inhibiteurs de la COX-2 sont une catégorie d’AINS qui réduisent l’inflammation, mais ne présentent pas le même risque d’effets secondaires gastro-intestinaux que les non-inhibiteurs de la COX-2. Le célécoxib (Celebrex) est un exemple d’inhibiteur de la COX-2. Il est important de savoir que si les inhibiteurs de la COX-2 entraînent moins d’effets secondaires gastro-intestinaux, la recherche a démontré qu’ils peuvent présenter un risque d’effets secondaires cardiovasculaires (cardiaques) égal ou supérieur à celui des AINS traditionnels.
Parfois, une injection de corticostéroïde (parfois appelé « cortisone ») dans l’articulation touchée peut contribuer à réduire l’inflammation de l’arthrose modérée à grave de la hanche et du genou, lorsque la mobilité est réduite ou que la douleur est intense. Il est important de noter que ces injections ne doivent être effectuées que de manière intermittente (moins de trois par année) dans chaque articulation atteinte, car des injections multiples de corticostéroïdes risquent d’affaiblir le cartilage et d’aggraver les lésions articulaires. Les injections de corticostéroïdes ne constituent pas un traitement à long terme, mais plutôt une solution temporaire, à utiliser très occasionnellement en raison du risque d’effets secondaires.
Chirurgie
La chirurgie articulaire est une option si les lésions articulaires progressent au point de réduire la fonction et la mobilité globales ou si la douleur est intense pendant une période prolongée. Le type de chirurgie articulaire le plus courant pour l’arthrose est le remplacement de l’articulation (arthroplastie); les genoux et les hanches sont les articulations les plus souvent traitées par arthroplastie.
Points essentiels à retenir
- L’arthrose est bien plus qu’une simple usure. Une combinaison de facteurs joue un rôle dans le développement de l’arthrose.
- Pour freiner la progression de l’arthrose, il existe de nombreux moyens qui ne sont pas nécessairement pharmacologiques. Ces moyens comprennent des changements de mode de vie, notamment en matière d’alimentation et d’exercice physique.
- La chirurgie articulaire comprend la préadaptation et la réadaptation. Pour en savoir plus, lisez ce bulletin Jointhealth™ insight « Vers la chirurgie de remplacement articulaire ».
L’Outil sur l’arthrose a été créé pour les fournisseurs de soins primaires qui prennent en charge des patients souffrant de douleur articulaire nouvelle ou récidivante qui correspond à l’arthrose de la hanche, du genou ou de la main. Cet outil aide les cliniciens à identifier les symptômes et à les prendre en charge de manière factuelle, en respectant des objectifs et en utilisant une pharmacothérapie ou non, tout en identifiant les déclencheurs aux fins d’investigations ou d’orientation vers un autre professionnel de la santé.
Outil pour les patients atteints d’arthrose
Une bonne communication entre les patients et leurs fournisseurs de soins de santé est très importante pour établir un diagnostic précis et élaborer des plans de traitement efficaces. Se fondant sur ce constat, le comité ACE, d’autres associations de patients ainsi que des experts scientifiques et cliniques en matière d’arthrose ont élaboré le document Parlez de vos douleurs articulaires à votre médecin, conçu pour améliorer la qualité de vie des personnes atteintes d’arthrite, notamment leur activité physique, leur sommeil, leur santé mentale (comme l’humeur ou la dépression), leurs relations et leur vie professionnelle afin :
- d’aider les personnes souffrant ou risquant de souffrir d’arthrose à avoir de meilleures conversations avec leur médecin ou d’autres professionnels de la santé, en les informant des soins qu’elles peuvent s’attendre à recevoir,
- d’aider les patients à identifier les causes de leurs douleurs articulaires et de leur perte de mobilité,
- de les renseigner sur les principes de base des stratégies de prévention primaire et des méthodes d’autosoins.
Références
1 | Site Web de l’ARC (en anglais seulement) |
2 | Siviero & EPOSA Research Group. (2020). Association between osteoarthritis and social isolation: data from the EPOSA study. (en anglais seulement) https://doi.org/10.1111/jgs.16159 |
3 | Jagger & Robine (2011). Healthy life expectancy. (pp. 551-568). (en anglais seulement) |
4 | Site Web de la Société de l’arthrite du Canada |
5 | Thomas et al. (2017). Epidemiology of Posttraumatic Osteoarthritis. (en anglais seulement) https://doi.org/10.4085/1062-6050-51.5.08 |
6 | Zhang & Jordan (2010). Epidemiology of osteoarthritis. (en anglais seulement) https://doi.org/10.1016/j.cger.2010.03.001 |
7 | Site Web d’Exercise is Medicine (en anglais seulement) |
8 | Nguyen et al. (2016). Rehabilitation (exercise and strength training) and osteoarthritis: A critical narrative review. (en anglais seulement) |
9 | Site Web de la Société de l’arthrite du Canada – Anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) |
10 | Pelletier et al. (2016). Efficacy and safety of oral NSAIDs and analgesics in the management of osteoarthritis: Evidence from real-life setting trials and surveys. (en anglais seulement) https://doi.org/10.1016/j.semarthrit.2015.11.009 |
11 | Choueiri, M., Chevalier, X., & Eymard, F. (2021). Intraarticular Corticosteroids for Hip Osteoarthritis: A Review. (en anglais seulement) https://doi.org/10.1177/1947603520951634 |
12 | Huang et al. (2019). Intra-articular injections of platelet-rich plasma, hyaluronic acid or corticosteroids for knee osteoarthritis. (en anglais seulement) https://doi.org/10.1007/s00132-018-03659-5 |
13 | Zeng et al. (2019). Intra-articular corticosteroids and the risk of knee osteoarthritis progression: results from the Osteoarthritis Initiative. (en anglais seulement) https://doi.org/10.1016/j.joca.2019.01.007 |
14 | Deveza & Bennell (2022). Management of moderate to severe knee osteoarthritis. (en anglais seulement) |